Jas, c’est mon nom, enfin c'est celui que j'ai choisi.
Je m'appelle Jason Macca, mais Jas c'est plus simple à retenir, non?
Ça se prononce “Jazz”, comme dans Le Prince de Bel-Air.
Ma passion pour la photo a commencé en animant des événements pour et avec des enfants malades au sein de l’ASBL familiale.
C’est à cette période de ma vie que j’ai découvert ma vocation : raconter votre histoire tout en écrivant la mienne...
Je suis maintenant photographe de mariage professionnel et je définirais mon style par doux, lumineux et coloré, j'aime les mariages modernes et champêtres, je suis un homme de la ville mais ma place à toujours été dans la nature!
Ne vous fiez pas à mon look tatoué de la tête aux pieds, derrière mon look de rockeur, j'ai un coeur énorme.
Ah oui, j'aime énormément parler, sauf pendant les cérémonies!
J'aime surtout parler d'humain à humains, parfois je n'hésite pas à sortir de mon rôle de commercial, car je me refuse à passer pour quelqu'un que je ne suis pas.
En me confiant votre mariage, vous me confiez la mission d'immortaliser un des jours les plus importants de votre vie... c'est pourquoi notre relation ne s'arrêtera pas au mariage, ni à une relation professionnelle.
—Alexandre Astier
J'ai connu l'époque des VHS et de la photo argentique, que je ne pratique pas.
Mes premières photos étaient cadrées de manière innocente avec un appareil photo jetable.
Mes premières expérimentations avec la lumière, c'était chez ma mamy Raymonde dans les années 90, avec un vieux flash dirigé vers le plafond, dans le noir total…
Tu vois ? Ce moment dans les films d'horreur où on fait une photo dans le noir et que ça fait ce bruit de recharge avant le flash ? Bah, ce qui fait flipper dans les films, moi je le faisais juste pour m'amuser.